Petite nouvelle fantastique/la suite!!!!!

Le dernier voyage...

Il s'aventura dans un semblant de chemin ,détrempé par la pluie,glissant par endroit

Le bruit de ses pas faisait crisser les herbres hautes et les ronces lui fouettaient les mollets.

Il avançait dans le noir,la main devant les yeux pour éviter d'être éborgné par les branchages toujour aussi cauchemardesques qui sembler vouloir l'attirer il ne savais ou.

ILs'arrêta souvent pour scruter la nuit, derriere et autour de lui croyant entendre quelque chose ou quelqu'un le suivre.

Mais se n'était que le bruit de sa respiration rapide et son coeur qui cognait a grand coups entre ses côtes.

Le temps lui paru long lorsqu'il aperçu sur sa gauche une vieille bicoque qui depuis lontemps ne méritait plus le nom d'habitation.

La lueur de la lune, l'orage et le hurlement du vent rendaient l'endroit peu accueillant.

La bicoque était délabrée seul un mince ruban de fumée s'échappait d'une cheminée bancale et en s'approchant il vit un volet disjoint qui laissait filtrer un mince filet de lumiere.

Le voyageur se demanda qui pouvait vivre dans un pareil taudis et dans son esprit plus trés clair,il revit l'inscription de la pancarte et sentir un picotement dans sa colonne vertébrale.

L'angoisse lui noua le ventre.

Tout bas il se dit:allons,allons,du cran que diable.

Le voyageur jeta un oeil dans la fente du volet et vit un intérieur misérable, dans la cheminée se consumait une bûche et c'était la seul source de lumiere.

Devant , sur le sol crasseux était coucher un vieux chien, plutot affalé, maigre et sale.

A part l'animal, le voyageur ne voyait personne,seulement des bruits bizarres comme un objet raclant  le sol.

Prenant son courage à deux mains il s'approcha de la porte,frappa doucement d'abord, puis plus fort.

Le voyageur entendit bouger et le chien se mit à aboyer, plutot une longue plainte.

La porte s'ouvrit à peine et le voyageur vit un vieillard appuyé sur une canne.

Il était aussi sale et maigre que le chien,grand et sans âge.

Ses yeux  bleus délavé étaient vides,et la peau de son visage et de son crâne était plus grise que blême.

Si tout était repoussant à l'intérieur, La canne elle était belle, d'un beau bois polie et son pommeau une tête de serpent

Le voyageur un peu sur ses gardes bredouillât quelques mots d'escuse, et demanda un endroit pour dormir,il ne voulait ni manger, ni boire, l'endroit lui soulevait l'estomac.

Le vieux l'écouta et sans un mot lui fit signe de le suivre.

Le voyageur traversa la piece, une odeur intolérable lui remplissait les narines.

Une odeur de mort,une pensée fugitive traversa l'esprit du voyageur, il faillit faire demi-tour, mais la voiture était loin, l'orage redoublait de violence et la pluie battait les murs du pauvre logis.

Résigné le voyageur se signa et suivit le vieux, il descendirent quelques marches, le voyageur avait l'impression de s'enfoncer dans le ventre de la terre........

la suite bientot...